Trois quarts des grandes entreprises sont en retard sur l’intégration de véhicules électriques dans leur flotte

Publié le 26/02/2025      2 minutes de lecture

C’est une première dans le monde ! En Norvège, près de 96 % des nouvelles immatriculations de voitures étaient 100 % électriques au mois de janvier 2025. Le pays scandinave s’avère ainsi à deux doigts d’atteindre son objectif de ne vendre que des voitures entièrement branchées à partir de cette année.

Parc automobile
La loi d’Orientation des Mobilités (Lom), adoptée fin 2019, oblige les entreprises et les administrations de plus de 50 salariés qui disposent d’un parc automobile de plus de 100 véhicules légers à respecter un quota minimal de voitures et d’utilitaires à faibles émissions dans leurs commandes automobiles annuelles.

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par Antonin Moriscot – Auto Infos

Seules 25% des grandes entreprises intègrent suffisamment de véhicule électrique dans leur flotte en 2024. Les trois-quarts restants ne respectent le cadre légal quant à l’électrification de leurs flottes automobiles, selon une étude annuelle publiée mercredi 19 février par l’ONG Transport & Environment (T&E).

45% des entreprises n’intègrent pas de véhicules électriques

Chaque année, les entreprises et administrations de plus de 50 salariés qui exploitent plus de 100 véhicules doivent intégrer un minimum de voitures et utilitaires légers électriques et hybrides rechargeables dans leurs commandes. Ce cadre a été fixé par la loi d’Orientation des Mobilités (Lom), adoptée fin 2019. Les concernées, soit 0,1% des entreprises, sont les grands groupes avec des flottes de services ou de fonction, et les loueurs de courte durée ou longue durée (leasing).

Fixé à 10% en 2022 et 2023, ce quota est passé à 20% pour les années 2024 à 2026. Ainsi, 40% des entreprises concernés ont respecté le quota de 10% en 2023. Mais celui-ci est passé à 20% pour les années 2024 à 2026, et cette hausse a fait tomber à 25% la part d’entreprise respectant la loi.

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