Décarbonation : comment E.Leclerc compte réduire de moitié ses émissions, en commençant par ses MDD
Publié le 17 /04/2025 4 minutes de lecture
Plutôt habitué des plateaux de télévision que des conférences de presse, Michel-Edouard Leclerc a présenté ce 15 avril les ambitions de décarbonation du Mouvement, accompagné de quatre adhérents, Stéphane Fournier, Philippe Amann, Pascal Ricordeau et Fabrice Hersent (de gauche à droite).
Partager :
À lire aussi :
Ikea accélère sa décarbonation en mettant en place un transport longue distance 100 % électrique
Après la livraison fluviale à Paris, Ikea France teste un camion électrique pour relier ses dépôts entre l’Isère et la Provence. Une étape clé pour atteindre un objectif de transports zéro émission à terme.
par r Jean-Noël Caussil – LSA
Automobile – Les hybrides dépassent les 50% du marché auto français et Peugeot est le numéro un
Sur onze mois, les modèles hybrides ont représenté 50,4% des immatriculations de voitures neuves dans l’Hexagone. Contre 41,8% un an auparavant. En comptant les rechargeables, Peugeot domine, devant Renault, Toyota, Dacia, Citroën.
par Alain-Gabriel Verdevoye – Auto Infos
Le ministre de l’économie veut porter le bonus écologique à 5700 € en 2026
Au micro de France Inter mercredi, le ministre de l’Économie et des Finances, Roland Lescure, annonce que le bonus écologique sur les voitures électriques sera maintenu et même augmenté jusqu’à 5.700 euros en 2026 (contre 3.100 à 4.200 aujourd’hui)
par Christophe Carignano – Auto Infos
Un chiffre résume l’impact carbone d’un groupe de la taille de E.Leclerc (près de 60 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2024, 750 magasins). En 2023, il a généré 73,6 millions de tonnes équivalent CO2. A titre de comparaison, celles de Nestlé s’élèvent à plus de 100 millions de tonnes et celles de la France à 644 millions de tonnes (selon l’Insee). Michel-Edouard Leclerc, président du comité stratégique, a fixé un cap : les réduire de 50% d’ici à 2035. « Dans le contrat E.Leclerc, il y a toujours eu des objectifs sociétaux », a rappelé en guise d’introduction le patron du Mouvement le 15 avril lors d’une conférence de presse, devenue un exercice rare pour cet habitué des plateaux télé. C’est dire si le chantier a toute son importance.
Le transport et le carburant, en première ligne sur l’impact carbone
Le message avait été lancé auprès des 550 adhérents il y a deux ans lors d’un congrès à Rome, puis répété au Palais des Congrès à Paris devant 6 000 cadres du Mouvement. « Il nous faut décarboner toute la chaîne, du producteur au consommateur », a martelé Michel-Edouard Leclerc. A commencer par le transport et le carburant, responsable de 51% des émissions carbone de l’enseigne. Ça tombe bien, E.Leclerc est aussi le deuxième acheteur/vendeur de carburants en France auprès du consommateur final (730 stations-service) et des entreprises (la RATP par exemple). Philippe Amann, adhérent à Erstein et président de la Siplec, la société d’importation pétrolière du Mouvement et chargée aussi des achats non-alimentaires à l’import, défend une approche « proactive et pragmatique ». Près de la moitié (42%) de la flotte des camions des transporteurs des 16 coopératives régionales (les Sca) roule au HVO 100, un carburant permettant de réduire de 90% les émissions de GES par rapport au diesel.
Côté consommateurs, 4,5 millions de pleins ont été réalisés avec du Superéthanol E85, moins cher que l’essence et qui pourrait équiper 10 millions de véhicules selon Philippe Amann. « Nous sommes les premiers à proposer de l’éthanol dans nos carburants », assure ce dernier. L’offre de bornes de recharge électrique va aussi monter en puissance d’ici à la fin de l’année. Son nom : Charge E-Lec. Implantée dans 4300 points de charge, elle sera plus simple, à des prix compétitifs et intégrée dans le programme de fidélité.
Partager :
À lire aussi :
Ikea accélère sa décarbonation en mettant en place un transport longue distance 100 % électrique
Après la livraison fluviale à Paris, Ikea France teste un camion électrique pour relier ses dépôts entre l’Isère et la Provence. Une étape clé pour atteindre un objectif de transports zéro émission à terme.
par r Jean-Noël Caussil – LSA
Automobile – Les hybrides dépassent les 50% du marché auto français et Peugeot est le numéro un
Sur onze mois, les modèles hybrides ont représenté 50,4% des immatriculations de voitures neuves dans l’Hexagone. Contre 41,8% un an auparavant. En comptant les rechargeables, Peugeot domine, devant Renault, Toyota, Dacia, Citroën.
par Alain-Gabriel Verdevoye – Auto Infos
Le ministre de l’économie veut porter le bonus écologique à 5700 € en 2026
Au micro de France Inter mercredi, le ministre de l’Économie et des Finances, Roland Lescure, annonce que le bonus écologique sur les voitures électriques sera maintenu et même augmenté jusqu’à 5.700 euros en 2026 (contre 3.100 à 4.200 aujourd’hui)
par Christophe Carignano – Auto Infos
Ikea accélère sa décarbonation en mettant en place un transport longue distance 100 % électrique
Après la livraison fluviale à Paris, Ikea France teste un camion électrique pour relier ses dépôts entre l’Isère et la Provence. Une étape clé pour atteindre un objectif de transports zéro émission à terme.
par r Jean-Noël Caussil – LSA
Automobile – Les hybrides dépassent les 50% du marché auto français et Peugeot est le numéro un
Sur onze mois, les modèles hybrides ont représenté 50,4% des immatriculations de voitures neuves dans l’Hexagone. Contre 41,8% un an auparavant. En comptant les rechargeables, Peugeot domine, devant Renault, Toyota, Dacia, Citroën.
par Alain-Gabriel Verdevoye – Auto Infos
Le ministre de l’économie veut porter le bonus écologique à 5700 € en 2026
Au micro de France Inter mercredi, le ministre de l’Économie et des Finances, Roland Lescure, annonce que le bonus écologique sur les voitures électriques sera maintenu et même augmenté jusqu’à 5.700 euros en 2026 (contre 3.100 à 4.200 aujourd’hui)
par Christophe Carignano – Auto Infos
Lyon généralise la récupération de chaleur fatale de ses chaufferies
En installant des équipements permettant de capter la chaleur fatale des fumées des chaudières biomasse, la métropole de Lyon entend multiplier ses ressources pour augmenter le nombre de bénéficiaires du chauffage urbain en protégeant la qualité de l’air.
par r Françoise Sigot – Club Techni.Cités