Vrac et réemploi : Réseau vrac et Deloitte dévoilent leur premier baromètre économique
Publié le 16/05/2024
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Selon une étude du Teenage Lab de Pixpay, la banque en ligne pour les jeunes dès 10 ans, la mode représente seulement 6 % des dépenses des ados français, mais près d’un quart de leurs émissions carbone.
© Potignon Alain/ Monoprix
En 2024, le marché du vrac voit un regain de croissance, montrant une perspective d’évolution prometteuse pour les prochaines années.
D’après les résultats du premier baromètre sur le vrac et le réemploi dévoilé à l’occasion du Salon du vrac 2024, le secteur serait prêt à reprendre sa dynamique post-crise sanitaire, porté par un nouvel engagement de la grande distribution. “Les perspectives du secteur dès la fin 2024, +55% d’emballages collectés, +20% d’embauche, construction de 4 nouveaux centres de lavage, encouragent les acteurs de la filière, entreprises, investisseurs ou décideurs politiques, à s’engager dans un processus de planification industrielle, stratégique et proactive“, explique Célia Rennesson, directrice et fondatrice de l’association Réseau vrac et réemploi, qui a conduit ce premier état des lieux de la filière avec le cabinet de conseil Deloitte.
Des attentes croissantes de la grande distribution

Au total, 56 acteurs différents ont été interviewés, issus des différents segments de l’industrie du vrac et du réemploi. Parmi ces acteurs, 32 ont également répondu au questionnaire, ce qui a permis d’obtenir une base de données quantitative significative pour chaque catégorie d’acteurs. “La grande distribution exprime une attente croissante envers les fournisseurs, les incitant à développer des gammes de produits vrac et à intégrer davantage de marques nationales ou de MDD dans ses rayons vrac“, dévoile l’étude.
En 2023, les grandes enseignes interrogées ont ainsi 36 références vrac en moyenne et 11 références réemploi, contre respectivement 590 et 100 pour les magasins spécialisés bio, et 1 200 et 20 pour les spécialistes du vrac. D’après les conclusions de ce baromètre, plus de 20 000 emplois potentiels pourrait être générés par la filière du vrac et du réemploi dans les prochaines années.
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