Pour produire plus de TGV, Alstom investit 150 millions d’euros dans ses usines françaises
Publié le 10 /04/2025 3 minutes de lecture
Les investissements d’Alstom dans la production doivent permettre d’augmenter les cadences pour livrer les TGV Inoui.
© Jean Schweitzer/ALSTOM
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TGV Inoui, RER NG, RER B, TER en région Sud… Ce n’est pas un inventaire à la Prévert, mais la liste des commandes d’Alstom livrées avec retard. Les explications sont nombreuses, entre les conséquences du Covid, de la pénurie de composants et les commandes très spécifiques. Après le TGV Inoui (ou TGV Avelia Horizon) ou le RER NG, il fallait enrayer cette spirale négative et répondre dans les temps aux prochaines commandes sur un marché en croissance, notamment dans la grande vitesse, Alstom a pris le taureau par les cornes. Le groupe va mettre en place un plan d’investissement de 150 millions d’euros sur fonds propres qui sera réalisé en 2025 et 2026.
«Le marché de la très grande vitesse connaît actuellement une forte croissance et Alstom se réjouit de l’intérêt grandissant pour son train à deux niveaux Avelia Horizon, a déclaré Frédéric Wiscart, le nouveau président d’Alstom France dans un communiqué diffusé vendredi 4 avril 2025. Ce programme sans précédent pour le groupe nous permettra de tenir nos engagements actuels et de renforcer la base industrielle d’Alstom avec des technologies innovantes issues de l’Industrie 4.0, pour mieux servir nos clients.» La production des nouveaux trains à grande vitesse doit doubler d’ici à début 2027 et tripler d’ici à début 2028 pour atteindre 30 rames par an.
Augmenter les cadences sur le TGV Avelia
Concrètement, ce plan prévoit la construction d’une nouvelle ligne d’assemblage pour les TGV Avelia Horizon sur le site Alstom de Valenciennes Petite-Forêt, une première pour cette usine qui fabrique habituellement des métros et trains régionaux. Un investissement d’environ 30 millions d’euros. La Rochelle, site historique pour la construction des TGV, verra ses capacités de chaudronnage et d’assemblage doubler pour répondre aux commandes de la SNCF, mais également de Proxima et du Maroc. L’investissement serait proche de 40 millions d’euros. De plus, une seconde ligne pour la production des trams est aussi prévue dans l’usine rochelaise, mais elle avait déjà été budgétée antérieurement.
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