Pickup lance les premières consignes alimentées par énergie solaire
Publié le 17/05/2024 2 minutes de lecture
Pickup, filiale du groupe La Poste, propose les toutes premières consignes alimentées par énergie solaire en France.
© Pickup Yanis Rainaud
Déjà près de 250 installations de ce nouveau modèle depuis septembre 2023.
Face aux défis environnementaux actuels, Pickup, filiale du groupe La Poste et réseau n°1 de relais et consignes en France, innove avec le lancement des toutes premières consignes alimentées par énergie solaire en France. « Des consignes pour le retrait de colis, qui ne nécessitent aucuns travaux d’installation. L’entreprise opère un tournant majeur, répondant ainsi à plusieurs enjeux stratégiques, tant économiques qu’écologiques », peut-on lire dans un communiqué.
Ce projet de consignes sans travaux et autonomes en énergie a germé chez Pickup il y a plus d’un an. L’objectif : faciliter l’installation des consignes en éliminant les travaux de raccordement, pour mieux répondre à la demande croissante des cyberacheteurs pour ce type de services. Une solution en phase avec les aspirations des consommateurs et les enjeux environnementaux actuels, qui permet de soutenir efficacement les partenaires commerçants dans leurs objectifs business. Après une phase rigoureuse de conception et de développement, un prototype a été installé avec succès le 26 septembre dernier dans une station de recharge pour véhicules électriques « Stations-e », située à Combs-la-Ville, en Île-de-France. Quelques semaines plus tard, démarrait le déploiement du modèle de série.
Avec cette nouvelle gamme de consignes, Pickup propose un service de retrait de colis à la fois pratique et éco-responsable, car alimenté par une source d’énergie renouvelable. La consigne évolue ainsi, en phase avec les enjeux de son temps, pour une réduction des émissions de gaz à effet de serre et un impact moindre sur l’environnement. « Créer des consignes autonomes en énergie, fonctionnant avec des panneaux solaires était pour nous une façon concrète d’opérer notre transition énergétique et de participer à l’effort commun en faveur d’une consommation plus vertueuse et responsable. Cette solution offre également un bénéfice important à nos partenaires relais, en éliminant le temps et le coût des travaux de raccordement, mais aussi le prix de l’électricité lié au fonctionnement des consignes », déclare dans le communiqué Maxime d’Hauteville, président de Pickup.
Rénovation énergétique : ce député qui veut décentraliser le pilotage de MaPrimeRénov’
Le député (Droite Républicaine) Sébastien Martin cherche à porter à l’Assemblée nationale une proposition de loi visant à décentraliser la rénovation énergétique, aujourd’hui administrée entièrement par l’Anah, au profit des départements et intercommunalités.
par Mathieu Michel – Le Moniteur
Les datacenters vont-ils relancer les énergies fossiles en Europe ? Le Shift Project sonne l’alarme
Le Shift Project, dans un rapport publié mercredi 1er octobre, alerte sur la consommation électrique des datacenters, qui devrait doubler d’ici à 2030 pour atteindre 200 térawattheures en Europe. Une croissance non anticipée, qui pourrait forcer l’Europe à revenir sur ses engagements de réduction des énergies fossiles et créer des conflits d’usage en France.
par Marion Garreau – L’Usine Nouvelle
Moins généreux, le leasing social revient avec seulement trois voitures à moins de 100 euros par mois
La deuxième édition du dispositif d’aide à la location de véhicules électriques pour les foyers à faibles revenus revient à partir du mardi 30 septembre. Alors que la demande des clients s’annonce forte, un total de 50000 voitures seront subventionnées à hauteur de 7000 euros.
par Antoine Vermeersch – L’Usine Nouvelle
Éolien terrestre : les entreprises de la filière dénoncent « un moratoire qui ne dit pas son nom »
En amont de son colloque annuel du 23 septembre, le Syndicat des énergies renouvelables a pointé les difficultés rencontrées par la filière. C’est dans le domaine de l’éolien terrestre que la situation est la plus critique, avec des chiffres tellement bas que le syndicat n’hésite pas à parler d’un quasi moratoire.
par Arnaud Garrigues – La Gazette des Communes