Marges, risques : les banquiers expliquent pourquoi ils peinent à booster la rénovation des copros
Publié le 13/05/2024 2 minutes de lecture
« Les copropriétés sont des objets complexes par nature », plaident les banquiers entendus le 7 mai par la commission d’enquête du Sénat sur la paupérisation des copropriétés, créée à l’initiative du groupe Communiste, républicain, citoyen et écologiste en février dernier.
« Je vous remercie de nous indiquer quelle est l’action des établissements que vous représentez en matière de détection, de suivi et de traitement des copropriétés en difficulté. » Amel Gacquerre, sénatrice de l’Union centriste du Pas-de-Calais, donne le ton, le 7 mai, face aux représentants du secteur bancaire priés d’argumenter sur les freins financiers à la rénovation des copropriétés.
Les données clés de l’Agence nationale pour l’habitat (Anah) pour 2023, publiés en janvier 2024, montrent en effet que seulement 51 559 logements en copropriété ont bénéficié d’aides pour leur rénovation l’année dernière, sur un total de 623 790 logements rénovés.
Risque de non-recouvrement
« Les copropriétés sont des objets complexes par nature », assure Pierre Bocquet, directeur du département banque de détail et à distance de la Fédération bancaire française (FBF). Complexes car la multiplicité des acteurs augmente le risque de non-recouvrement des sommes prêtées. Une situation qui explique que « la première source de financement de la rénovation énergétique des copropriétés, c’est l’épargne individuel des ménages ». Pour le porte-parole des banques installées en France, l’enjeu serait de « faire en sorte que les marges opérationnelles soient plus intéressantes » pour le secteur bancaire.
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