L’hybride, la motorisation préférée des Français
Publié le 11/03/2025 4 minutes de lecture
Face à la transition énergétique, les automobilistes français adaptent leurs choix en matière de motorisation. L’hybride s’impose comme la solution privilégiée, offrant un équilibre entre autonomie et efficacité énergétique.
L’hybride arrive en tête des intentions globales d’achat, tous marchés confondus (neuf et occasion).
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Le Baromètre Énergies annuel de L’argus et leboncoin auto révèle une évolution des préférences des acheteurs, qui se détournent du diesel au profit des motorisations hybrides et électriques.
L’hybride, perçu comme une solution équilibrée entre autonomie et sobriété, s’impose désormais comme le premier choix des automobilistes. L’électrique progresse, bien que son adoption reste freinée par des contraintes persistantes. Quant au diesel, il continue de perdre du terrain, sauf dans quelques bastions où il résiste encore.
Avec 38 % des intentions d’achat, l’hybride surpasse désormais l’essence (22 %) et le diesel (16 %). Sa montée en puissance s’explique par une combinaison de facteurs : une consommation plus sobre que les motorisations purement thermiques, une autonomie rassurante par rapport à l’électrique, et une conformité aux réglementations environnementales, notamment dans les grandes villes. Chez les acheteurs de véhicules neufs, 42 % privilégient cette motorisation, tandis que sur le marché de l’occasion, 30 % des acheteurs optent pour un hybride.
Le phénomène est encore plus marqué selon les usages. Parmi les conducteurs effectuant plus de 20 000 km par an, l’hybride dépasse désormais le diesel, avec 31 % des intentions d’achat contre 27 %. Chez les petits rouleurs (moins de 10 000 km par an), l’électrique progresse mais reste derrière l’hybride, qui séduit 39 % des acheteurs. Cette adoption croissante s’explique aussi par une baisse généralisée des prix du marché depuis début 2024, rendant ces véhicules plus accessibles.
L’électrique progresse, mais les freins restent nombreux
Malgré des avancées, la voiture électrique peine encore à convaincre. En 2024, elle représente 19 % des intentions d’achat, contre seulement 6 % en 2016. L’offre des constructeurs s’étoffe, les aides publiques incitent à l’achat et les prix ont amorcé une décrue. Pourtant, l’électrique reste confronté à des réticences majeures : 62 % des automobilistes citent une autonomie insuffisante comme principal frein, 56 % dénoncent un manque d’infrastructures de recharge, et 51 % considèrent son prix encore trop élevé. Plus surprenant, 44 % des acheteurs expriment des doutes sur son véritable impact écologique, notamment en raison de la production des batteries et de leur recyclage.
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