La décarbonation, nouveau vecteur d’attractivité pour la métropole d’Orléans
Publié le 26/02/2025 3 minutes de lecture
Le 4 mars, Orléans (Loiret) accueillera la première étape 2025 de Territoires et Industrie, le tour de France des solutions industrielles porté par L’Usine Nouvelle et La Gazette des Communes. Pour conforter le tissu économique local et développer son attractivité, Orléans Métropole décarbone son territoire, grâce à la création d’un réseau de chaleur, à la mobilisation du fonds vert et à la création de formations innovantes autour de l’hydrogène.
© Honda
L’usine Honda d’Ormes (Loiret) veut profiter du réseau de chaleur mis en place par la Métropole pour sortir des énergies fossiles.
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Le long de l’A10 entre Artenay et Orléans, ou au sud de la métropole, les entrepôts succèdent aux entrepôts. Au cœur de ce paysage monotone, la capitale du Centre-Val de Loire fait figure de base arrière logistique de la région parisienne. Cette image, qui lui colle à la peau depuis des années, ne traduit qu’une partie de la réalité économique locale. Entre industries mécaniques, usines cosmétiques et laboratoires pharmaceutiques comme John Deere, Servier, Shiseido, L’Oréal ou Dior, Orléans est aussi une terre d’industrie (14000 emplois et 360 établissements), qu’Orléans Métropole veut préserver tout en développant de nouveaux vecteurs d’attractivité. Grâce à la labellisation Territoire d’industrie, décrochée en 2023, la collectivité compte notamment «aider les entreprises à s’adapter à la transition énergétique, favoriser des écosystèmes innovants et lever les freins au recrutement», explique Pascal Tebibel, vice-président de la métropole en charge de l’attractivité et du numérique.
Après deux ans de travail, les projets commencent à se concrétiser, à commencer par le plus ambitieux d’entre eux : la création d’un réseau de chaleur de 20 kilomètres pour alimenter les entreprises de la zone d’activité de Pôle 45, le poumon économique du nord d’Orléans, ainsi que les bâtiments publics des communes voisines d’Ormes et Saran. L’idée, portée par la société publique locale (SPL) Orléans Energies, consiste à récupérer la chaleur fatale de l’usine d’incinération d’ordures ménagères pour chauffer les bâtiments en hiver et les rafraichir en été.
Le réseau de chaleur décarbonera Honda
La métropole, qui ambitionne d’être un territoire à énergie positive en 2050, a lancé un appel d’offres à l’automne 2024 pour sélectionner le prestataire qui construira et exploitera ce réseau. Le montant du projet – 50 millions d’euros – est conséquent. «Mais la crise énergétique a rendu compétitif ce type d’investissement lourd, relève Matthieu Schlesinger, premier vice-président. On peut s’engager sur un tarif et cela offre de la stabilité aux entreprises.»
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