La décarbonation, nouveau vecteur d’attractivité pour la métropole d’Orléans
Publié le 26/02/2025 3 minutes de lecture
Le 4 mars, Orléans (Loiret) accueillera la première étape 2025 de Territoires et Industrie, le tour de France des solutions industrielles porté par L’Usine Nouvelle et La Gazette des Communes. Pour conforter le tissu économique local et développer son attractivité, Orléans Métropole décarbone son territoire, grâce à la création d’un réseau de chaleur, à la mobilisation du fonds vert et à la création de formations innovantes autour de l’hydrogène.
© Honda
L’usine Honda d’Ormes (Loiret) veut profiter du réseau de chaleur mis en place par la Métropole pour sortir des énergies fossiles.
Partager :
À lire aussi :
Ikea accélère sa décarbonation en mettant en place un transport longue distance 100 % électrique
Après la livraison fluviale à Paris, Ikea France teste un camion électrique pour relier ses dépôts entre l’Isère et la Provence. Une étape clé pour atteindre un objectif de transports zéro émission à terme.
par r Jean-Noël Caussil – LSA
Automobile – Les hybrides dépassent les 50% du marché auto français et Peugeot est le numéro un
Sur onze mois, les modèles hybrides ont représenté 50,4% des immatriculations de voitures neuves dans l’Hexagone. Contre 41,8% un an auparavant. En comptant les rechargeables, Peugeot domine, devant Renault, Toyota, Dacia, Citroën.
par Alain-Gabriel Verdevoye – Auto Infos
Le ministre de l’économie veut porter le bonus écologique à 5700 € en 2026
Au micro de France Inter mercredi, le ministre de l’Économie et des Finances, Roland Lescure, annonce que le bonus écologique sur les voitures électriques sera maintenu et même augmenté jusqu’à 5.700 euros en 2026 (contre 3.100 à 4.200 aujourd’hui)
par Christophe Carignano – Auto Infos
Le long de l’A10 entre Artenay et Orléans, ou au sud de la métropole, les entrepôts succèdent aux entrepôts. Au cœur de ce paysage monotone, la capitale du Centre-Val de Loire fait figure de base arrière logistique de la région parisienne. Cette image, qui lui colle à la peau depuis des années, ne traduit qu’une partie de la réalité économique locale. Entre industries mécaniques, usines cosmétiques et laboratoires pharmaceutiques comme John Deere, Servier, Shiseido, L’Oréal ou Dior, Orléans est aussi une terre d’industrie (14000 emplois et 360 établissements), qu’Orléans Métropole veut préserver tout en développant de nouveaux vecteurs d’attractivité. Grâce à la labellisation Territoire d’industrie, décrochée en 2023, la collectivité compte notamment «aider les entreprises à s’adapter à la transition énergétique, favoriser des écosystèmes innovants et lever les freins au recrutement», explique Pascal Tebibel, vice-président de la métropole en charge de l’attractivité et du numérique.
Après deux ans de travail, les projets commencent à se concrétiser, à commencer par le plus ambitieux d’entre eux : la création d’un réseau de chaleur de 20 kilomètres pour alimenter les entreprises de la zone d’activité de Pôle 45, le poumon économique du nord d’Orléans, ainsi que les bâtiments publics des communes voisines d’Ormes et Saran. L’idée, portée par la société publique locale (SPL) Orléans Energies, consiste à récupérer la chaleur fatale de l’usine d’incinération d’ordures ménagères pour chauffer les bâtiments en hiver et les rafraichir en été.
Le réseau de chaleur décarbonera Honda
La métropole, qui ambitionne d’être un territoire à énergie positive en 2050, a lancé un appel d’offres à l’automne 2024 pour sélectionner le prestataire qui construira et exploitera ce réseau. Le montant du projet – 50 millions d’euros – est conséquent. «Mais la crise énergétique a rendu compétitif ce type d’investissement lourd, relève Matthieu Schlesinger, premier vice-président. On peut s’engager sur un tarif et cela offre de la stabilité aux entreprises.»
Partager :
À lire aussi :
Ikea accélère sa décarbonation en mettant en place un transport longue distance 100 % électrique
Après la livraison fluviale à Paris, Ikea France teste un camion électrique pour relier ses dépôts entre l’Isère et la Provence. Une étape clé pour atteindre un objectif de transports zéro émission à terme.
par r Jean-Noël Caussil – LSA
Automobile – Les hybrides dépassent les 50% du marché auto français et Peugeot est le numéro un
Sur onze mois, les modèles hybrides ont représenté 50,4% des immatriculations de voitures neuves dans l’Hexagone. Contre 41,8% un an auparavant. En comptant les rechargeables, Peugeot domine, devant Renault, Toyota, Dacia, Citroën.
par Alain-Gabriel Verdevoye – Auto Infos
Le ministre de l’économie veut porter le bonus écologique à 5700 € en 2026
Au micro de France Inter mercredi, le ministre de l’Économie et des Finances, Roland Lescure, annonce que le bonus écologique sur les voitures électriques sera maintenu et même augmenté jusqu’à 5.700 euros en 2026 (contre 3.100 à 4.200 aujourd’hui)
par Christophe Carignano – Auto Infos
Ikea accélère sa décarbonation en mettant en place un transport longue distance 100 % électrique
Après la livraison fluviale à Paris, Ikea France teste un camion électrique pour relier ses dépôts entre l’Isère et la Provence. Une étape clé pour atteindre un objectif de transports zéro émission à terme.
par r Jean-Noël Caussil – LSA
Automobile – Les hybrides dépassent les 50% du marché auto français et Peugeot est le numéro un
Sur onze mois, les modèles hybrides ont représenté 50,4% des immatriculations de voitures neuves dans l’Hexagone. Contre 41,8% un an auparavant. En comptant les rechargeables, Peugeot domine, devant Renault, Toyota, Dacia, Citroën.
par Alain-Gabriel Verdevoye – Auto Infos
Le ministre de l’économie veut porter le bonus écologique à 5700 € en 2026
Au micro de France Inter mercredi, le ministre de l’Économie et des Finances, Roland Lescure, annonce que le bonus écologique sur les voitures électriques sera maintenu et même augmenté jusqu’à 5.700 euros en 2026 (contre 3.100 à 4.200 aujourd’hui)
par Christophe Carignano – Auto Infos
Lyon généralise la récupération de chaleur fatale de ses chaufferies
En installant des équipements permettant de capter la chaleur fatale des fumées des chaudières biomasse, la métropole de Lyon entend multiplier ses ressources pour augmenter le nombre de bénéficiaires du chauffage urbain en protégeant la qualité de l’air.
par r Françoise Sigot – Club Techni.Cités