La cyclologistique fait son entrée dans les marchés publics
Publié le 14/05/2024 3 minutes de lecture
Le département du Val-de-Marne développe l’utilisation du vélo pour l’acheminement de matériel et les déplacements, avec l’aide de Coopcycle, une fédération de coopératives de cyclologistique.
[Val-de-Marne, 1,42 million d’hab.]
Depuis quelques années, l’acheminement de produits à vélo connaît un renouveau. Dans une étude sur la cyclologistique en France, l’Ademe la définit comme « l’organisation et la réalisation du transport de marchandises ou de biens réalisé en cycle pour le compte d’autrui ». Afin de limiter la pollution, réduire la consommation de pétrole, les nuisances sonores et le nombre de camions en circulation et en stationnement parfois gênant, des collectivités s’intéressent au développement de ce mode de transport décarboné, notamment pour les derniers kilomètres.
C’est le cas du conseil départemental du Val-de-Marne qui, dans son schéma de promotion des achats publics socialement et écologiquement responsables 2023-2028 (Spaser), entend « questionner systématiquement chaque soumissionnaire sur son empreinte carbone, quelle que soit la prestation, même intellectuelle. Cette démarche doit aussi pousser la réflexion au niveau du mode de livraison du marché et des modes de déplacement adoptés par le prestataire sélectionné ».
Une analyse effectuée direction par direction
Afin d’analyser les flux logistiques de ses services et rechercher des alternatives à la voiture, la collectivité recourt à Coopcycle, fédération de coopératives de cyclologistique. Retenue à l’appel à manifestation d’intérêt « accompagnement des territoires » de la région Ile-de-France, lequel visait à inciter collectivités et professionnels de la logistique à collaborer, la prestation intellectuelle est financée à hauteur de 50 %. « Coopcycle effectue un travail d’analyse direction par direction », indique Franck Picot, chef de projets au département.
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