Décarbonation : comment E.Leclerc compte réduire de moitié ses émissions, en commençant par ses MDD
Publié le 17 /04/2025 4 minutes de lecture
Plutôt habitué des plateaux de télévision que des conférences de presse, Michel-Edouard Leclerc a présenté ce 15 avril les ambitions de décarbonation du Mouvement, accompagné de quatre adhérents, Stéphane Fournier, Philippe Amann, Pascal Ricordeau et Fabrice Hersent (de gauche à droite).
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Un chiffre résume l’impact carbone d’un groupe de la taille de E.Leclerc (près de 60 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2024, 750 magasins). En 2023, il a généré 73,6 millions de tonnes équivalent CO2. A titre de comparaison, celles de Nestlé s’élèvent à plus de 100 millions de tonnes et celles de la France à 644 millions de tonnes (selon l’Insee). Michel-Edouard Leclerc, président du comité stratégique, a fixé un cap : les réduire de 50% d’ici à 2035. « Dans le contrat E.Leclerc, il y a toujours eu des objectifs sociétaux », a rappelé en guise d’introduction le patron du Mouvement le 15 avril lors d’une conférence de presse, devenue un exercice rare pour cet habitué des plateaux télé. C’est dire si le chantier a toute son importance.
Le transport et le carburant, en première ligne sur l’impact carbone
Le message avait été lancé auprès des 550 adhérents il y a deux ans lors d’un congrès à Rome, puis répété au Palais des Congrès à Paris devant 6 000 cadres du Mouvement. « Il nous faut décarboner toute la chaîne, du producteur au consommateur », a martelé Michel-Edouard Leclerc. A commencer par le transport et le carburant, responsable de 51% des émissions carbone de l’enseigne. Ça tombe bien, E.Leclerc est aussi le deuxième acheteur/vendeur de carburants en France auprès du consommateur final (730 stations-service) et des entreprises (la RATP par exemple). Philippe Amann, adhérent à Erstein et président de la Siplec, la société d’importation pétrolière du Mouvement et chargée aussi des achats non-alimentaires à l’import, défend une approche « proactive et pragmatique ». Près de la moitié (42%) de la flotte des camions des transporteurs des 16 coopératives régionales (les Sca) roule au HVO 100, un carburant permettant de réduire de 90% les émissions de GES par rapport au diesel.
Côté consommateurs, 4,5 millions de pleins ont été réalisés avec du Superéthanol E85, moins cher que l’essence et qui pourrait équiper 10 millions de véhicules selon Philippe Amann. « Nous sommes les premiers à proposer de l’éthanol dans nos carburants », assure ce dernier. L’offre de bornes de recharge électrique va aussi monter en puissance d’ici à la fin de l’année. Son nom : Charge E-Lec. Implantée dans 4300 points de charge, elle sera plus simple, à des prix compétitifs et intégrée dans le programme de fidélité.
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