Avec Frontera, la marque Opel de Stellantis confirme ses ambitions dans l’électrique
Publié le 16/05/2024 
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À l’occasion de la présentation du nouveau Frontera ce mardi, Opel a profité de l’occasion pour afficher de nouveau ses ambitions dans l’électrique, à savoir ne produire plus que des véhicules zéro émission à partir de l’année 2025.
Le Frontera remplacera l’Opel Crossland, qui s’apprête à tirer sa révérence seulement 7 ans après son arrivée sur le marché.
© Opel / Stellantis
Ne produire plus que des véhicules 100 % électriques à partir de l’année 2025. Telles sont les ambitions de la d’Opel, troisième marque la plus vendue du groupe Stellantis au sein de l’Union européenne au cours de l’année 2023 (derrière Peugeot et Fiat). Malgré un marché électrique en eaux troubles depuis le début de l’année 2024 – tout particulièrement en Allemagne, la marque originaire de Russelsheim entend bien se tenir à ses objectifs en termes d’électrification, et le nouveau Frontera pourrait en être l’un des fers de lance.
Le Frontera en fer de lance
Ce mardi, Opel a en effet levé le voile sur son nouveau petit SUV 100 % électrique, le Frontera C. Ce modèle remplacera l’Opel Crossland, qui s’apprête à tirer sa révérence seulement 7 ans après son arrivée sur le marché. Mesurant 4,38 mètres, le nouveau Frontera offrira pour l’heure d’une autonomie de 300 kilomètres avant une autre version à 400 kilomètres. Son prix de départ pour les premières commandes au mois de juin 2024 sera de 29 000 euros en Allemagne.
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