Où s’arrêtera la chute des ventes de motos et scooters électriques ?
Publié le 19 /06/2025 2 minutes de lecture 
Selon les données fournies par AAA Data et par Dataneo à travers le Baromètre 2 Roues Mobilians, les immatriculations de motos, scooters et cyclos électriques ne cessent de baisser depuis de longs mois. L’arrêt du bonus écologique a porté un rude coup à ce marché, qui ne parvient pas à enrayer sa chute.
BMW Motorrad reste en tête des ventes de deux-roues électriques chez les équivalents 125 et au-delà, sur un marché qui ne cesse de baisser.
© BMW Motorrad
Partager :
À lire aussi :
Éolien terrestre : les entreprises de la filière dénoncent « un moratoire qui ne dit pas son nom »
En amont de son colloque annuel du 23 septembre, le Syndicat des énergies renouvelables a pointé les difficultés rencontrées par la filière. C’est dans le domaine de l’éolien terrestre que la situation est la plus critique, avec des chiffres tellement bas que le syndicat n’hésite pas à parler d’un quasi moratoire.
par Arnaud Garrigues – La Gazette des Communes
Un coup de pouce pour sauver la filière des batteries en Europe
Face aux difficultés rencontrées par les fabricants européens de batteries, l’État accordera, à partir du 1er octobre, une prime de 1 000 euros pour l’achat d’un véhicule électrique dont la batterie est assemblée sur le Vieux Continent.
par Ludovic Bellanger – Auto Infos
Nouvelle prime à la casse, “super-crédits CO2” pour relancer les citadines… Stellantis formule ses propositions pour adapter la courbe de décarbonation de l’automobile
Le constructeur automobile Stellantis ne vendra pas uniquement des véhicules à batteries en 2030, comme il en avait pris l’engagement en 2022. Face à la demande modeste des consommateurs, le groupe demande de la clémence à l’Union européenne et formule des propositions.
par Antoine Vermeersch -L’Usine Nouvelle
La fin du bonus écologique accordé aux deux-roues électriques début décembre 2024 a porté un coup très rude à ce marché. Déjà situées à un niveau assez limité, les immatriculations de motos, scooters et cyclos à batterie n’ont cessé de baisser depuis le début de l’année 2025. Les volumes se retrouvent ainsi à des niveaux très modestes. En effet, sur les cinq premiers mois de l’année, il s’est écoulé 4 204 cyclos électriques selon AAA Data, soit un recul de 27,1 % par rapport à 2024. Cependant, il faut relativiser ce recul, puisqu’il est un peu moins mauvais que celui subi par le segment des cyclos dans son ensemble. Ces engins souffrent terriblement depuis de longs mois et ont encore subi une chute de 28,6 % entre janvier et fin mai, pour un volume global de 16 751 unités. Sur ce total, le nombre d’électriques mis à la route représente tout de même 25 % des immatriculations, ce qui n’est pas si mal. Cependant, qu’il soit thermique ou électrique, le 50 cm3 perd du terrain dans le paysage de la mobilité individuelle. De quoi s’interroger sur l’avenir de ce segment, qui se repositionne progressivement à un niveau bien éloigné des décennies passées. L’électrification a finalement permis de sauver des immatriculations, tout en jouant contre le cyclo, puisque ce dernier a été remplacé en partie par le vélo à assistance électrique et la trottinette électrique. Sur le segment supérieur des motos et scooters des catégories MTL (125 cm3), MTT1 (35 kW) et MTT2 (Full), la chute de l’électrique est également marquée.
Partager :
À lire aussi :
Éolien terrestre : les entreprises de la filière dénoncent « un moratoire qui ne dit pas son nom »
En amont de son colloque annuel du 23 septembre, le Syndicat des énergies renouvelables a pointé les difficultés rencontrées par la filière. C’est dans le domaine de l’éolien terrestre que la situation est la plus critique, avec des chiffres tellement bas que le syndicat n’hésite pas à parler d’un quasi moratoire.
par Arnaud Garrigues – La Gazette des Communes
Un coup de pouce pour sauver la filière des batteries en Europe
Face aux difficultés rencontrées par les fabricants européens de batteries, l’État accordera, à partir du 1er octobre, une prime de 1 000 euros pour l’achat d’un véhicule électrique dont la batterie est assemblée sur le Vieux Continent.
par Ludovic Bellanger – Auto Infos
Nouvelle prime à la casse, “super-crédits CO2” pour relancer les citadines… Stellantis formule ses propositions pour adapter la courbe de décarbonation de l’automobile
Le constructeur automobile Stellantis ne vendra pas uniquement des véhicules à batteries en 2030, comme il en avait pris l’engagement en 2022. Face à la demande modeste des consommateurs, le groupe demande de la clémence à l’Union européenne et formule des propositions.
par Antoine Vermeersch -L’Usine Nouvelle
Éolien terrestre : les entreprises de la filière dénoncent « un moratoire qui ne dit pas son nom »
En amont de son colloque annuel du 23 septembre, le Syndicat des énergies renouvelables a pointé les difficultés rencontrées par la filière. C’est dans le domaine de l’éolien terrestre que la situation est la plus critique, avec des chiffres tellement bas que le syndicat n’hésite pas à parler d’un quasi moratoire.
par Arnaud Garrigues – La Gazette des Communes
Un coup de pouce pour sauver la filière des batteries en Europe
Face aux difficultés rencontrées par les fabricants européens de batteries, l’État accordera, à partir du 1er octobre, une prime de 1 000 euros pour l’achat d’un véhicule électrique dont la batterie est assemblée sur le Vieux Continent.
par Ludovic Bellanger – Auto Infos
Nouvelle prime à la casse, “super-crédits CO2” pour relancer les citadines… Stellantis formule ses propositions pour adapter la courbe de décarbonation de l’automobile
Le constructeur automobile Stellantis ne vendra pas uniquement des véhicules à batteries en 2030, comme il en avait pris l’engagement en 2022. Face à la demande modeste des consommateurs, le groupe demande de la clémence à l’Union européenne et formule des propositions.
par Antoine Vermeersch -L’Usine Nouvelle
La crise politique met la transition énergétique à l’arrêt
La dynamique de la transition énergétique a été stoppée, tant pour le développement des énergies renouvelables que pour celui du nouveau programme nucléaire français. Les industriels de l’énergie se retrouvent sans cap et sans cadre réglementaire pour lancer des investissements. Et les parlementaires peinent à voir se dessiner une sortie de crise.
par Arnaud Garrigues – La Gazette des Communes
