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Nouvelle prime à la casse, “super-crédits CO2” pour relancer les citadines… Stellantis formule ses propositions pour adapter la courbe de décarbonation de l’automobile

Publié le 19 /09/2025         2 minutes de lecture    

Jean-Philippe Imparato, Stellantis Europe, véhicule électrique
© LaPresse
A la tête de Stellantis en Europe, Jean-Philippe Imparato (ici en photo en 2022 dans l’usine itallienne de Pomigliano D’Arco) affirme que l’objectif de son groupe, formulé en 2022, de vendre exclusivement des véhicules électriques en 2030, «n’est plus atteignable».

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«Il est temps d’agir, vite». Malgré une présence limitée des marques de Stellantis au salon de l’automobile de Munich (Opel et Leapmotor, sur les 15 marques du groupe), son patron européen Jean-Philippe Imparato a fait le déplacement dans la capitale bavaroise. Et pas seulement parce que l’ensemble de l’équipe de direction du constructeur s’y réunit en présentiel mardi 9 septembre.

Le numéro deux de Stellantis a profité de l’ouverture de la grand-messe de l’automobile pour clamer que l’objectif de son groupe, formulé en 2022, de vendre exclusivement des véhicules électriques en 2030, «n’est plus atteignable, à moins que vous n’envisagiez que le marché s’effondre de 30% et que les finances de toutes les entreprises s’effondrent. Ce n’est réalisable pour personne».

La réglementation européenne impose aux entreprises de réduire de 50% les émissions de CO2 de leurs produits en 2030 (par rapport à 2021) et de les décarboner entièrement pour 2035. Mais de nombreux constructeurs comme Stellantis, optimistes en début de décennie quant à la courbe d’adoption des véhicules à batterie, se sont engagés à y arriver plus vite. Beaucoup ont rétropédalé depuis, comme Volvo et Mercedes-Benz.

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