Moins généreux, le leasing social revient avec seulement trois voitures à moins de 100 euros par mois

Publié le 07 /10/2025         2 minutes de lecture    

Voiture électrique
L’aide gouvernementale est revue à la baisse à 7000 euros, entraînant mathématiquement une hausse des loyers mensuels. La Citroën ë-C3 était disponible à partir de 54 euros en 2024. Un an plus tard, son prix d’appel est fixé à 95 euros.
© William Crozes @ Continental Productions

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Combien de temps le guichet du leasing social restera-t-il ouvert ? Les constructeurs s’attendent à ce que les clients se ruent sur les offres de la seconde édition du dispositif, destiné à démocratiser la voiture électrique aux plus faibles revenus. Le principe, qui a fait recette en 2024, reste le même : les foyers ayant un revenu fiscal de référence par part inférieur ou égal à 16 300 euros (soit les cinq premiers déciles) peuvent contracter à une offre de location d’un véhicule à batterie (prix maximum 47000 euros pour un poids inférieur à 2,4 tonnes) pour un minimum trois ans. L’intérêt ? Ils n’auront pas à payer un premier loyer, généralement très onéreux, et bénéficieront d’un coup de pouce gouvernemental à hauteur de 7000 euros.

50000 véhicules financés

Non cumulable avec d’autres aides, la subvention est conséquente, mais beaucoup moins généreuse qu’en 2024. Elle avait atteint 13000 euros. Les consommateurs – certains par effet d’aubaine – s’étaient rué sur le dispositif, forçant le gouvernement à précipitamment y mettre fin après cinq semaines et 50 000 véhicules financés, pour un montant global d’aide publique chiffré à 650 millions d’euros.

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